Ni réductionnisme, ni animisme
Voilà une quinzaine d’années, l’animisme ne comptait pas parmi les invités les plus habituels des cafés du Commerce. Devons-nous au succès planétaire de la série hollywodienne Avatar que cette religion primitive ait quitté les revues d’anthropologie où Philippe Descola lui a donné ses dernières lettres de noblesse ? Pour entrer dans les rayons de développement personnel,